« Une des grandes promesses des NFTs dans l’édition est de fluidifier la vente de livres numériques et pourquoi pas d’y ajouter une dose de rareté. ».
Si vous voulez des lecteurs et des droits d’auteur, pourquoi introduire de la rareté ? Plus vous avez de lecteurs, mieux c’est.
Admettons qu’on s’en serve pour des éditions limitées, comme l’article le suggère. Quel est l’apport, la garantie apportée par les NFT ? Aucune.
« C’est un peu comme si vous touchiez un droit d’auteur sur des livres d’occasion. »
Il ne me semble pas que cette analogie serait légale en France.
« il n’est pas toujours facile d’avoir le suivi de ses ventes. »
C’est vrai, mais c’est de la faute de l’éditeur (et des libraires, numériques ou non). Rien à voir avec un processus technique. Communiquer l’état des ventes de votre livre est une obligation légale de l’éditeur. Est-ce qu’OpenSea et autres sont des éditeurs ? Non.